Études de cas
Justice réparatrice
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Author of case study: Marcela Torres Molano
Geopolitical location of space:
555 W Coast Rd, Templeton
Christchurch, New Zealand
Extant? Yes
Architect:
The last maintenance reform (2011) was done by the Naylor Love Canterbury construction company.
Christchurch Men’s Prison is a detention centre for men located on the east coast of New Zealand’s South Island. The prison has been the space of restorative justice encounters between victims and perpetrators of crimes such as murder. These encounters happen when parole is being considered for a perpetrator.
Yes, encounters between victims and imprisoned perpetrators take place in the building.
No. The spaces used for the encounters are within the prison and have not been designed specifically for safe listening.
The intended participants are crime victims and imprisoned perpetrators.
Christchurch Men’s Prison is the property of the Department of Corrections of New Zealand.
Christchurch Men’s Prison, also known as Paparua, is situated 18 kilometres from the centre of Christchurch, occupying 1,000 acres of a farming site. It is one of New Zealand’s oldest and largest minimum to high security prisons, and it accommodates nearly 1,000 male prisoners. The site opened in 1915, while the two original buildings were completed in 1925. In 1972, a third wing was constructed; these three units are fully operational. The Paparua prison is four times the size it was in the early 20th century, that includes the prison pig farm.
The two original structures are concrete rectangular buildings with external cells along the two long exterior walls. They lack natural light and have an archaic atmosphere. One of these structures is a high-security voluntary segregation unit. The roads are grey, the buildings are grey and the wires are grey, except for the artwork made by the inmates since 2015. The Leimon Villas, established in 2000, are four house-like units that accommodate low-security prisoners in an apartment type space, to teach the men independent living skills by letting them organise their own cooking, cleaning, and weekly food budgets.
“Paparua is a good example of a prison responding to the social conditions of the day, it shows the rural ethic of New Zealand, that provides therapeutic benefits of outdoor work” (Symon, 2012).
Restorative justice in New Zealand is a process that intends to repair the damage done to victims of crimes, through a carefully mediated meeting between victims and offenders. During the meetings victims have the opportunity to communicate directly with the person responsible of the offence. In the restorative justice “conference,” the victim has the opportunity to tell the offender how they have been affected by the crime, ask questions and discuss if and how the harm can be repaired.
The restorative justice system has an important place in Paparua Prison in Christchurch. “For some offenders there is a real hope of rehabilitation if they can work with the restorative process which gives crime victims a voice” (BBC).
est auteure, conférencière, chroniqueuse et podcasteuse dans les domaines de l'architecture et des arts décoratifs. Elle termine sa maîtrise en histoire de l'art à l'Université Concordia, à Montréal, et détient un baccalauréat en commerce avec une majeure en marketing de la John Molson School of Business. Elle a étudié la psychologie industrielle à Los Angeles, en Californie. Sicotte est l'auteure de deux ouvrages publiés sur le design (2015, 2018) aux éditions Cardinal.
est candidate colombienne au doctorat au Département d'histoire de l'art de l'Université Concordia. Elle a une formation en design architectural et en activisme communautaire et détient une maîtrise en bâtiment et design urbain de la Bartlett School of Architecture à Londres, en Angleterre. Ses intérêts se concentrent sur l'art socialement engagé, les mouvements sociaux, l'activisme collaboratif dans des scénarios post-conflit, l'art produit collectivement et l'art produit en relation avec le cadre bâti.
est candidat au doctorat en sciences humaines à l'Université Concordia. Ses recherches portent sur l'agentivité spatiale, l'esthétique sociale, les récits des jeunes et les représentations graphiques de la mémoire urbaine. Il a publié sur la relation entre les enfants, le jeu et l'espace public à Carthagène, en Colombie. Il a également travaillé comme éditeur sur des projets littéraires, dont Territorio Fértil, qui a reçu le prix María Nelly Murillo Hinestroza pour la littérature afro-colombienne.
est professeure agrégé et Chaire de recherche du Canada en architectures de justice spatiale (niveau 2) à l'École d'architecture Peter Guo-hua Fu de l'Université McGill, Montréal, Québec, Canada. Ses intérêts de recherche comprennent le logement à loyer modique et le design participatif, la protestation civile et le design urbain, ainsi que les paysages des campus et la race. Ses publications incluent le livre co-édité, Orienting Istanbul (2010) et le livre (auteure unique), Istanbul Open City (2018).
est artiste et professeure d'histoire de l'art à l'Université Concordia. Ses travaux portent sur les femmes et l'histoire du cadre bâti, les paysages urbains, la recherche-création et l'histoire orale. Elle a publié sur l'histoire spatiale du mouvement pour le suffrage des femmes, l'art public, les jardins et les politiques du changement urbain. En plus de ses recherches sur les espaces de justice réparatrice et transitionnelle, elle dirige un projet d'histoire orale sur les mémoires urbaines des montréalais et montréalaises.
est un ancien titulaire de la Chaire de recherche du Canada en interprétation de l'histoire orale (2016-2021). Il est professeur agrégé au Département de théâtre de l'Université Concordia et codirecteur du Centre d’histoire orale et de récits numérisés (CHORN) de Concordia. Sa subvention de la Fondation canadienne pour l'innovation en infrastructure lui a permis de créer le Laboratoire d'écoute active (ALLab) en 2018. Basé au CHORN, l'ALLab est un centre de recherche-création de premier plan pour le pouvoir transformateur de l'écoute.