Études de cas
Justice réparatrice
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Author of case study: Greg Labrosse
Geopolitical location of space:
838 East Derwent Highway
Risdon, Tasmania
Extant? Yes
Architect:
Original architect: unknown (originally built as the Bowen Park Visitor Centre in the 1970s)
Refurbishment: Tim Penny Architecture (2019)
The Tasmanian Aboriginal Centre is an Aboriginal community organisation developed in the early 1970s and funded by the federal government since 1973.
The Tasmanian Aboriginal Centre represents the political and community development aspirations of the Tasmanian Aboriginal community in Hobart and its surrounding areas.
Yes. The service staff at the Children’s Centre act as a liaison between offenders and the court, and offer a variety of programs, addressing the overrepresentation of Aboriginal youth in Tasmanian detention centres.
The spaces where restorative justice takes place within the Centre have not been designed specifically for safe listening. They are multi-purpose rooms that are adapted according to the need.
The Centre’s focus is on delivering services to the Aboriginal community.
The Centre is open to all.
The hand-over of the Risdon Cove site, which included the Bowen Memorial and the original structure of the Bowen Park Visitor Centre, was part of the Aboriginal Lands Bill. The transfer occurred on 11 December, 1995.
The Centre comprises two pyramids joined by a glazed link. The Pyramid Refurbishment project provided an education facility for the Tasmanian Aboriginal Centre to deliver community education and training programs for the Tasmanian Aboriginal community. This incorporated multipurpose rooms with the Aboriginal Children’s Early Learning Centre. The new entry insertion is a linear, copper-clad form to counterpoint with the original pyramids. The timber-lined lobby provides a light-filled public entry and presentation space for cultural artefacts in an informal meeting space.
As per its website, the TAC is an Aboriginal community organisation developed in the early 1970s and funded by the federal government since 1973. It was incorporated as the Aboriginal Information Service in November 1973 and changed its name to Tasmanian Aboriginal Centre (TAC) in August 1977, and officially to Tasmanian Aboriginal Corporation in 2016, but is still known as the Tasmanian Aboriginal Centre. The objectives of the corporation are to provide benevolent relief of poverty, sickness, destitution and distress to address disadvantage among Aboriginal and Torres Strait Islander (“Aboriginal”) people.
Some of its main achievements include:
Some of the services it provides include:
In coordination with Hobart’s Department of Health and Human Services department, in recent years the Tasmanian Aboriginal Centre has organised bush walks as part of its Youth Diversion Program, in order to offer young offenders a peaceful space for conferencing with their parents and the municipal caseworkers.
est auteure, conférencière, chroniqueuse et podcasteuse dans les domaines de l'architecture et des arts décoratifs. Elle termine sa maîtrise en histoire de l'art à l'Université Concordia, à Montréal, et détient un baccalauréat en commerce avec une majeure en marketing de la John Molson School of Business. Elle a étudié la psychologie industrielle à Los Angeles, en Californie. Sicotte est l'auteure de deux ouvrages publiés sur le design (2015, 2018) aux éditions Cardinal.
est candidate colombienne au doctorat au Département d'histoire de l'art de l'Université Concordia. Elle a une formation en design architectural et en activisme communautaire et détient une maîtrise en bâtiment et design urbain de la Bartlett School of Architecture à Londres, en Angleterre. Ses intérêts se concentrent sur l'art socialement engagé, les mouvements sociaux, l'activisme collaboratif dans des scénarios post-conflit, l'art produit collectivement et l'art produit en relation avec le cadre bâti.
est candidat au doctorat en sciences humaines à l'Université Concordia. Ses recherches portent sur l'agentivité spatiale, l'esthétique sociale, les récits des jeunes et les représentations graphiques de la mémoire urbaine. Il a publié sur la relation entre les enfants, le jeu et l'espace public à Carthagène, en Colombie. Il a également travaillé comme éditeur sur des projets littéraires, dont Territorio Fértil, qui a reçu le prix María Nelly Murillo Hinestroza pour la littérature afro-colombienne.
est professeure agrégé et Chaire de recherche du Canada en architectures de justice spatiale (niveau 2) à l'École d'architecture Peter Guo-hua Fu de l'Université McGill, Montréal, Québec, Canada. Ses intérêts de recherche comprennent le logement à loyer modique et le design participatif, la protestation civile et le design urbain, ainsi que les paysages des campus et la race. Ses publications incluent le livre co-édité, Orienting Istanbul (2010) et le livre (auteure unique), Istanbul Open City (2018).
est artiste et professeure d'histoire de l'art à l'Université Concordia. Ses travaux portent sur les femmes et l'histoire du cadre bâti, les paysages urbains, la recherche-création et l'histoire orale. Elle a publié sur l'histoire spatiale du mouvement pour le suffrage des femmes, l'art public, les jardins et les politiques du changement urbain. En plus de ses recherches sur les espaces de justice réparatrice et transitionnelle, elle dirige un projet d'histoire orale sur les mémoires urbaines des montréalais et montréalaises.
est un ancien titulaire de la Chaire de recherche du Canada en interprétation de l'histoire orale (2016-2021). Il est professeur agrégé au Département de théâtre de l'Université Concordia et codirecteur du Centre d’histoire orale et de récits numérisés (CHORN) de Concordia. Sa subvention de la Fondation canadienne pour l'innovation en infrastructure lui a permis de créer le Laboratoire d'écoute active (ALLab) en 2018. Basé au CHORN, l'ALLab est un centre de recherche-création de premier plan pour le pouvoir transformateur de l'écoute.